François Normand
Les Affaires
La montée des inégalités nuit à la démocratie, à la croissance économique, à la santé et au bien-être d’une société.
Or, cette tendance n’est pas le fruit du hasard: c’est en grande partie un choix de société, un mauvais choix de société qui déstabilise le monde.
C’est l’une des conclusions de l’essai Le 1% le plus riche (l’exception québécoise) publié récemment par Nicolas Zorn, analyste de politiques à l’Institut du nouveau monde (INM) à Montréal et spécialiste des inégalités économiques.